Mariembourg - Nismes
Point de vue |
VERS LA ROCHE A LOMME
Un des plus beaux points de vue de la région! Dominant la paysage environnant, ce pic calcaire surmonté d'une croix offre une vue unique sur la magnifique région du Viroin. Il n'est donc pas étonnant que les hommes du Néolithique, les romains, les gaulois et les hommes du Moyen-Age se soient installés ici pendant un certain temps. La construction la plus importante sur ce site a été une fortification à tour carré, datant du début de l'époque romaine. La Roche à Lomme est connue au-delà des frontières pour sa grande valeur biologique. Le versant rocheux situé au sud est couvert d'une flore aux teintes méditerranéennes, rehaussée par la présence abondante de buis. http://www.viroinval.be
|
Théodore Houben était déjà installé à Verviers depuis 1858, où il possédait une corroierie. L'usine de Dourbes, montée en 1876, était destinée à produire du cuir à semelle et du cuir industriel nécessaires aux activités textiles de Verviers. Vers 1960, la tannerie de Dourbes connut une reconversion. On y traitait toujours le cuir mais c'est la sellerie, a peausserie, ainsi que la fabrication de cuir pour les articles de sport qui prirent la relève. Malgré cela la tannerie cessa ses activités en 1980. La tannerie s'installa à l'emplacement de l'ancien moulin à tan Brachet. Le tannage des peaux en cuir aux écorces de chêne s'est pratiqué depuis la plus haute antiquité. Au village, chacun tannait lui-même ses peaux de bétail jusqu'il y a deux cents ans. Dans les parts de chauffage et dans les lots de "raspes" pour les fauldes (1), on laissait sur pied en hiver les perches de chênes pour la peler à la sève de mai-juin. Et, par la suite, chacun allait moudre ses écorces sèches au moulin banal. la procédure vis-à-vis du meunier était, en 1451, aussi précise que pour moudre le grain de chaque foyer. Au siècle passé seulement, s'installèrent les tanneries spécialisées.
C'est alors que dans les taillis du sud de l'Entre-Sambre-et-Meuse les
écorces de chênes de moins de 30 ans représentaient une valeur importante
dans la coupe. Le bûcheron qui pratiquait au moment de la montée de
la sève pour en extraire le tanin arrivait à tripler les revenus d'une
journée normale. (1) empilage de rondins constituant une meule au centre de laquelle une chambre de combustion remplie de brindilles, de feuilles mortes ou de paille était aménagée. Cette meule était recouverte de feuilles mortes et de mottes de gazon et de terre. Elle brûlait pendant 5 à 6 jours jusqu'à produire le charbon de bois.
|
Nismes - Château Licot |
Sauf indication contraire, les textes en italique proviennent de WIKIPEDIA, l’Encyclopédie libre.
© 2013 Cercle Pégase ASBL